Vous avez la parole : vos réponses

Concernant la censure dont à fait preuve "Le Littoral" et son directeur, Richard Pattedoie, en nous interdisant de publier un droit de réponse à Monsieur Rousseau, vous avez été nombreux à réagir. Voici un commentaire de Bourcefrançais :

"Bonjour et bravo pour votre association, que je supporte avec la plus grande bienveillance,mais ne croyez vous pas qu'il est maladroit de se mettre à dos la presse locale? Graissez donc un peu cette patte....d'oie, et pensez aux vaillants volatiles du Capitole, qui ont défait nos glorieux ancêtres..." Herbert.
NOTRE REPONSE : Enfin un peu de culture dans un monde de... brutes. Mais je crois me souvenir qu'en alertant les Romains de l'attaque de Brennos, les oies de la déesse Junon ont précipité les chiens romains, qui eux n'avaient pas aboyés pour alerter de l'attaque, dans les gouffres de la mythologie. Dommage pour ces charmants quadrupèdes. Faut-il pour autant cerner la Mairie de Bourcefranc d'un troupeau d'oies dont on ignore si elles détectent les magouilles ? Pour le reste vous avez raison et j'aimerais m'en entretenir avec vous quand vous le souhaitez. JD.

Comments

[Ludovic POIRIER]

Veuillez à l'avenir, ne pas détourner les paroles des personnes qui s'interressent à votre site. Si vous voulez accuser Mr ROUSSEAU d'être l'auteur de quoi que se soit, faites le vous même avec vos vérités vérifiables. Pour une fois que Mr MASSE et Mme EYRAUD n'ont rien fait, une chance.

[Bourcefranc-avenir]

Pourriez-vous avoir l'extrême obligeance de préciser ce que vous entendez par "détourner les paroles". D'autant que sur un site il devrait davantage être question d'écrits et non de paroles. Juste une question de clarté. Merci de votre intervention.

[laudy]

le 5 decembre approchant, pour rappel c'est la journée nationale du souvenir pour honorer nos morts en Algérie, qu'ils soient du contingent, pieds-noirs ou Harkis, j'ai été étonné que la commune n'est rien prévue, c'est du moins ce qu'il me semble, les panneaux d'affichage communaux étant vierges d'avis. C'est faire peu de cas pour ces personnes mortes pour la France.